samedi 24 décembre 2011

Qui craint le grand méchant... l'eau? C'est p'têt vous! C'n'est pas nous...

Comment imaginer une réelle menace tapie dans une matière aussi anodine que l'eau?

Il faut, pour cela, analyser l'étiquette des eaux en bouteille. Une manière quelque peu inhabituelle : selon son niveau de résidus secs ou plus exactement sa teneur globale en éléments minéraux recueillis après l'évaporation d'1litre de cette eau à 180°C.

Les chiffres sont parfois étourdissants...même certaines eaux ayant envahi notre quotidien en deviennent inquiétantes.

Pourquoi? Une pureté de l'eau élevée, soit une teneur en minéraux faible, équivaut à un corps sain dans lequel les reins peuvent exercer leurs fonctions vitales sans être surchargés et donc purifier le sang. Or beaucoup de nos eaux de table ne répondent pas à ce critère...

La FNAIR (Fédération Nationale d'Aide aux Insuffisants Rénaux) recommande d'ailleurs de boire des eaux faiblement minéralisées.  Quelques décodages d'étiquettes qui parlent d'elles-mêmes:  

La Spa 33 mg/l, la Mont Roucous 19 mg/l, la Rosée de la Reine 18,1 mg/l 
Ou encore, la Volvic 130 mg/l, la Valvert 201 mg/l
Par contre, l'Evian 309mg/l
e.a. Sources:
http://www.quellenatlas.eu/media/bec7e19ed2111f6effff8326ac14421f.pdf

mercredi 7 décembre 2011

Saint-Plastique, priez-pour nous...

Difficile de savoir encore à quel Saint-Plastique se vouer? Les labels ne sont pas si nombreux mais le commun des mortels peut s'y perdre...Quels pourraient être les moins mauvais pour nos petits artistes en herbe parce qu'il est omniprésent?

Certains sont à bannir définitivement, il suffit de prendre l'habitude de retourner les objets de notre quotidien. Si les nombres 1, 3, 6, 7 (accompagné de PP pour ce dernier) sont présents, mieux vaut passer son chemin.  Malheureusement, l'envahissement est réel.

e.a. Sources:
Infos santé du Dr Catherine Ruyssen  http://www.ruyssen.net/

lundi 28 novembre 2011

Sugar Baby Sugar

Quelques chiffres: la consommation du sucre blanc au début du siècle passé, par nos (arrières-)grands-parents, soit au début du XXième, il n'y a pas vraiment si longtemps: 1kg/an (8kg/an selon d'autres sources).  De nos jours, l'Europe tourne autour de 35kg/an...et nous avons de la chance, les USA sont déjà au double!

Mais où se cache-t-il? Les étiquettes se jouent de nous: au détour d'un emballage de jambon, d'une biscotte ou même d'un plat préparé... normalement salé...Et nous, pauvres marionnettes, nous le consommons innocemment partout, passant parfois des vies de régimes pour rectifier le tir, à cause d'une stupide dépendance se mettant en place si avant 3 ans, il nous est donné parfois même à l'insu des parents!

La nature étant bien faite, une saturation naturelle se met en place spontanément en ayant cette démarche consciente pour nos chères petites têtes blondes. Et ceci, en abordant pas les autres dangers liés à cette douce poudre blanche qui a déjà gagné beaucoup de terrain. 

mercredi 16 novembre 2011

Pain gris, pain béni?


Pain gris, pain complet, pain multi-céréales,...à consommer sans modération...scande-t-on partout. Oui, mais voilà, vaut-il mieux manger du pain gris ou du pain blanc quand il est non-bio?
Il arrive -et les témoignages ne sont pas uniques- que même les agriculteurs réceptionnant leurs céréales dans leur silos, juste après leur récolte, commencent à saigner du nez, tellement l'air est chargé de ces molécules de produits phytosanitaires.
Où restent donc stockés ces résidus toxiques? L'enveloppe du grain conserve jalousement tous ces précieux poisons et nous les livrent subtilement à chaque bouchée.
Aussi aberrant que cela puisse paraître, il vaut mieux, dans un cas pareil, manger du pain blanc...






e.a. Sources:
 Professeur de cancérologie et chirurgie digestive - H.Joyeux, Programme de recherche Abarac (Agriculture-Nutrition-Santé)

samedi 22 octobre 2011

L'Arroseur Arrosé

Et le problème n'est pas non plus le fameux commerce équitable! 
Plutôt que d'aider de pauvres fermiers du reste du monde, pour avoir la conscience tranquille...pourquoi ne pas s'intéresser aux fermiers locaux - déjà nombreux, obligés (in)volontairement d'accepter le système: de prendre des emprunts qu'ils seront parfois plusieurs générations à rembourser pour pouvoir adapter leurs équipements, à utiliser ces produits "phytosanitaires" pour que leurs productions alors calibrées de telle et telle façon soient achetée par la toute-puissante grande distribution -à quel prix tristement négocié?- mais s'ils avaient le malheur, malgré leurs gants et leur masque, que cela les rende malades, ils se retrouvent SEULS, sans pouvoir même bénéficier du statut de maladie professionnelle sans compter qu'ils se prennent toute la profession sur le dos.
Tout n'est donc qu'emballage... le consommateur n'est pas la seule victime... mais qui sort vraiment gagnant?

e.a. Sources:
Chemical Predictors of Wheeze among Farmer pesticide Applicators in the Agricultural Health Study JANE A. HOPPIN, DAVID M. UMBACH, STEPHANIE J. LONDON, MICHAEL C. R. ALAVANJA, and DALE P. SANDLER – March 2002

mardi 4 octobre 2011

Free Our Food

Le problème n'est plus le bio! L'essentiel devient de vivre et de manger 'propre' tout simplement. Avec différents niveaux de propreté indéniablement. Le concept de base est la nourriture propre et libre de toute pollution. FREE OUR FOOD!

Il est temps que les parents s'interrogent vraiment, les autres sont les bienvenus!
Une simple devinette: 'Combien d'oranges devriez-vous manger, aujourd'hui, vous ou vos petits gastronomes en culottes courtes pour espérer atteindre le niveau de vitamine C que l'on atteignait en 1960?'...Avant de vous étonner, quelques précisions importantes: il y aura d'abord un excédent d'eau, puis les restes des produits phytosanitaires (nouvelles appellations 'sexy' pour tous les fongicides, pesticides, et autres -ides tout aussi antipathiques les uns que les autres) pour ne laisser ensuite la place qu'à un huitième de la dose d'il y a près de 50 ans!!!!!

e.a. Sources:
Donald R. Davis, with the Biochemical Institute at the University of Texas, Austin, data gathered by the USDA in 1950 and 1999 on the nutrient content of 43 fruit and vegetable crops.